4 février 2008
Fourrure canadienne: l'avenir passe par la Chine
Pendant près de 400 ans, l'Europe a été le premier acheteur mondial de fourrures sauvages canadiennes. Aujourd'hui, les trappeurs vendent davantage leurs précieuses captures en Chine et en Russie. La croissance vertigineuse de l'économie et des goûts de luxe des nouveaux riches fait que la Chine constitue leur deuxième marché le plus important. La Chine est un grand acheteur de fourrures brutes du Canada mais elle est aussi un grand compétiteur du point de vue de la fabrication des manteaux»,les coûts de la main-d'oeuvre y sont moins élevés qu'en Chine. L'émergence de la Chine et de la Russie constitue ainsi un important changement dans l'histoire du commerce de la fourrure.
Pour plus d'info, cliquez ici:
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080204/LAINFORMER/802040551/5891/LAINFORMER01
Publicité
Commentaires